Un pharmacien de 27 ans est mort jeudi soir à Nancy d'une méningite foudroyante de type C. L'homme, qui avait ressenti les premiers symptômes de la maladie mercredi, a été pris en charge par les secours jeudi à la mi-journée avant de tomber rapidement dans le coma... Il n'a pu être réanimé par les médecins et est mort à l'hôpital.
Une dizaine de personnes ayant eu un contact rapproché avec le patient décédé ont été identifiées et mises sous traitement antibiotique. Parmi elles, un homme de 28 ans, hospitalisé à Nancy, qui est effectivement atteint d'une méningite à méningocoque de type C.
Si vous pensez avoir été en contact avec ces patients, l'ARS a mis en place un numéro vert : 0800 255 025
L'infection invasive à méningocoque de type C, considérée comme rare, est due à "un germe fragile qui se transmet uniquement d'une personne à l'autre lors de contacts directs (face à face), proches (moins d'un mètre) et prolongés ou répétés (baiser, relations intimes)", précisent les autorités sanitaires.
Les formes foudroyantes représentent 10 à 20% des méningites à méningocoques. Elles sont responsables d'une quinzaine de décès par an en France.
"Le méningocoque ne survit pas en dehors du corps humain; il ne reste ni dans l'air ni sur les objets, même en passant rapidement d'une bouche à l'autre", a souligné l'ARS, qui a considéré qu'il y avait "très peu de risques de transmission".
Pour rappel il existe un vaccin pour prévenir la survenue de la méningite C ; ce vaccin est recommandé aux enfants âgés de 12 mois, avec un rattrapage jusqu’à l’âge de 24 ans.
Une dizaine de personnes ayant eu un contact rapproché avec le patient décédé ont été identifiées et mises sous traitement antibiotique. Parmi elles, un homme de 28 ans, hospitalisé à Nancy, qui est effectivement atteint d'une méningite à méningocoque de type C.
Si vous pensez avoir été en contact avec ces patients, l'ARS a mis en place un numéro vert : 0800 255 025
L'infection invasive à méningocoque de type C, considérée comme rare, est due à "un germe fragile qui se transmet uniquement d'une personne à l'autre lors de contacts directs (face à face), proches (moins d'un mètre) et prolongés ou répétés (baiser, relations intimes)", précisent les autorités sanitaires.
Les formes foudroyantes représentent 10 à 20% des méningites à méningocoques. Elles sont responsables d'une quinzaine de décès par an en France.
"Le méningocoque ne survit pas en dehors du corps humain; il ne reste ni dans l'air ni sur les objets, même en passant rapidement d'une bouche à l'autre", a souligné l'ARS, qui a considéré qu'il y avait "très peu de risques de transmission".
Pour rappel il existe un vaccin pour prévenir la survenue de la méningite C ; ce vaccin est recommandé aux enfants âgés de 12 mois, avec un rattrapage jusqu’à l’âge de 24 ans.
http://fome-sante-magazine.blogspot.com/2014/10/il-na-pu-etre-reanime-par-les-medecins.html
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